RekoZik

On vous avait surpris dans l’épisode précédent avec un guest de conclusion, nous revoila cette fois avec un invite sur toute la durée de l’émission, en la personne de notre ami de trente ans, Nicolas du podcast l'EntrePod! Le bonhomme nous accompagne donc sur toute la durée de l’épisode avec ses commentaires et sa reko (et on l'en remercie).

Episode en quatre partie cette fois avec d'abord l'album de Justice Divine, formation post-punk de Brest, suivis de l'un des derniers albums du claviériste londonien Joe Armon-Jones du groupe Ezra Collective pour un mélange de jazz et de dub, et on termine les rekos avec l'album Same as it never was des anglais de The Herbaliser, entre trip hop et hommage au funk et a la soul. Puis, on termine par une conversation autour du livre Mood machine, The Rise of Spotify and the cost of the perfect playlist. Durant cette conversation nous revenons sur les enseignement de cette analyse très complète de la journaliste Liz Pelly sur l'histoire et l'impact de Spotify. De quoi vous donner envie de lire son excellent ouvrage (uniquement disponible en anglais pour le moment) et d'alimenter votre reflection sur votre consommation musicale, qu'elle passe par Spotify ou pas.

Pour une source en francais, vous pouvez lire l'excellent interview de Liz Pelly par Sophian Fanen sur les Jours (et vous abonnez pour soutenir cette excellente publication).

Le compte Facebook n’étant pas des plus populaires, nous ne l'alimentons plus, mais nous continuons de poster un peu sur Instagram. Cependant, afin de ne pas dépendre de Meta, nous alimentons de plus en plus notre compte Bsky avec toutes les informations musicales complémentaires a ce dont nous parlons dans le podcast, en plus de vous souligner des sorties importantes le vendredi.

Non, vous ne rêvez pas, votre plus grand souhait vient d’être exhausser, après 111 épisode, les deux frères du Broclash sont de nouveau réunis dans un épisode! Nous accueillons donc pour cet épisode pour parler des concerts de Nine Inch Nails a Paris et a Amsterdam Laurent du Broclash qui nous narre son expérience découverte d'un groupe dont on lui parle depuis au moins trente ans! La fin d'un long périple et on l’espère d'une grande histoire d'amour.

Avant cela, vous avez bien entendu droit a nos deux rekos habituels, a commencer par l'album As everything is a tragedy (2006) des Parisiens de Comity, une légende du rock français, n'ayons pas peur des mots. Puis, Arno vous fait voyager en Allemagne de l'Ouest avec la compilation du Dj et historien écossais JD Twitch avec la compilation post punk d'Allemagne de l'Ouest Kreaturen der nacht (2018).

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Le deuxième marronnier de Rekozik est bien entendu le fameux Outbreak fest de Manchester. Petite innovation cette année, le festival se divisait en deux avec un premier volet le vendredi a Londres en grande pompe au Victoria Park, gigantesque espace pour les festivals dans le nord est de Londres, avant de revenir le samedi et le dimanche a Manchester. Une affiche gonfle avec pas mal de prestation en double sur les deux volets mais surtout des concerts dantesques accueillis par un public toujours aussi énergique. On revient donc sur toutes les particularités de cette édition, un avis sur la version Londres et la version Manchester et un compte rendu détaillé de bon nombre des groupes.

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Mêler l'obscure au plus connu, c'est notre dada alors ne soyez pas surpris de retrouver au programme de cette épisode un véritable ovni musicale orchestre par le duo Infinity Knives, à la production, et Brian Ennals, au micro, pour un album politique au possible où les deux musiciens invitent un paquet de compagnes et de compagnons pour présenter un monde nouveau, fait de croisement musicaux inattendus, sur un seul disque.

On passe ensuite au roi des groupes de rock psyché, le Roi Gizzard et le Lézards Sorcier. Les australiens sortent leur premier album de cette année fait de bout de leur album précédent, augmentes par des orchestrations du plus belle effet. Du rock garage au bon parfum de pop où l'on mélange allègrement les Beatles, les Doors ou encore Stevie Wonder.

Enfin, le festival a beau être terminé, nous voulions aussi parler des multiples controverses colportés par la presse autour du Hellfest, et en profitez pour vous rappeler de soutenir plein de festival locaux de moins grandes envergures comme le Rock in Bourlon (qui a publie après notre épisode un communique clair sur sa position face au harcèlement et au discriminations).

NB: Nous commettons une erreur dans notre discussion sur le Hellfest au sujet de Faust qui n'a pas joue avec Emperor au Hellfest mais dans Blood Fire Death, tribute band a Bathory.

On vous conseille aussi de regarder l'opinion du Doom Dad au sujet des controverses du Hellfest et son opinion sur le fest.

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A force de se côtoyer, nos goûts musicaux commencent a se rejoindre pour aboutir a ce grand moment dans l'histoire du podcast: le jour a Arno a recommmande un disque dont Hororo voulait parler! L’épisode débute donc comme d'habitude avec une recommandation d'Hororo, le dernier EP en date de Youth Code, Yours, with malice, sorti cette annexe, et on enchaîne avec une reko en tir groupe, Black hole superette de Aesop Rock. Une belle occasion pour deux passionnes de partager leur amour pour un album et un artiste et de débattre du sens des paroles d'une des plumes les plus riches et imaginative de l'histoire du rap. Un épisode fort en émotion ou l'on parle de dépression, de chien, de Van Gogh, de communauté, d'art et des degats du capitalisme au cours d'une discussion en ping pong intense.

Enfin, pour ne pas terminer avec un sujet moins interessant, on vous parle de la biographie de MF DOOM (1971-2020) écrite par S.H. Fernando Jr maintenant que les deux chroniqueurs l'ont lu intégralement. Une occasion comme une autre de recommander un livre passionnant pour les amatrices et amateurs de DOOM et de revenir sur l'une des personnalité les plus influentes du rap des années 90 a 2020.

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