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C'est notre dernier épisode de l’année et on entends bien vous laisser dans le calme et la sérénité. On commence donc par Perceive its beauty, Acknowledge its grace de Shabaka (ex. Sons of Kemett,** The Comet is Coming*, **Shabaka and the Ancestors*), le premier album entièrement a la flûte pour cet prodige du saxophone. On discute donc du disque, des raisons derrière son changement et d'un concert récemment donne a Utrecht au Tivoli Vredenburg (Pays-Bas) ou il s'est produit.

On passe ensuite au dernier album de Beak>, a ne pas confondre avec Beck, le groupe de rock psyche/kraut rock avec Geoff Barrow (Portishead, Quackers) dont c'est le dernier en compagnie de Billy Fuller et Will Young. L'occasion de revenir un peu sur Portishead et Quackers et de discuter des liens et des différences entre ses multiples projets.

Puis, on termine avec une petite conversation autour de notre cher et bien aime Trent Reznor dont la prochaine BO pour le film Tron 3 signera le retour de Nine Inch Nails, toujours au cote de Atticus Ross. Une bonne occasion de parler aussi de Tron et de diverses choses, comme vous pourrez le constater.

En attendant, bonnes fêtes et a bientôt!

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Toujours dans notre dynamique d'un disque plus ancien et d'un plus recent, vos deux experts de la rekos continue sur leur lancee pour vous pointer dans toutes les directions, mais toujours les bonnes.

L'episode debute donc avec un long retour de quasi une heure sur un disque oublie et recemment reedite, l'immense Prone mortal form de Only Living Witness. Un groupe en avance sur son temps entre Pantera et Soundgarden pour l’époque et on ne peut plus influent sur des groupes comme Twitching Tongues ou Superheaven. On avance la machine a voyager dans le temps et on retourne au présent avec le dernier album de Illa J, frere cadet du producteur J Dilla dont vous avez vante les mérites au détour d'une reko de l'album Ruff draft (voir épisode 46, le Smooth episode).

Enfin, comme a l’épisode précédent, on vous parle de cinéma, mais cette fois sans aucun lien avec la musique. Et oui, on vous le dit a chaque épisode mais on vous propose cette fois une conversation sur le film The Substance de Coralie Fargeat avec Demi Moore et Margaret Qualley.

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On a du retard encore une fois et toute la faute en revient a Hororo qui est vraiment beaucoup trop fatigue et vous presente donc ses plus plates excuses.

Pas de baisse d’énergie dans l'art de la reko pour autant. Dans le domaine, vous savez bien que vous pouvez nous faire confiance. Ne nous demandez juste pas de tenir votre calendrier. On commence donc pas un gros retour en arrière au début des annees 2000 avec l'album Perdition city des norvégiens d'Ulver. Puis, on passe a Super turbo des américains de Texas Toast Chainsaw Massacre. Du down tempo au crossover, on se positionne partout et on conclut l’épisode par un passage en revue des references cinématographique de ce dernier album et vous parler un peu de cinéma.

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Vous revoila entre les mains expertes de Arno pour un nouvel episode avec non pas une, ni deux, mais trois, voir quatre rekos. Qu'est ce que c'est que cette histoire?

On commence par un nouveau disque de l'annee pour Hororo, le énième pour ceux qui font la comptabilité depuis chez eux, avec le nouvel album de Chat Pile, Cool world. On enchaîne avec un disque un poil moins récent, mais pas si lointain, avec le 666-pack des autrichiens d'Insanity Alert. Enfin, on termine par un petit truc en plus qui se transforme en rekos: La reformation surprise de Acid Bath. Vingt sept ans apres leur separation, les musiciens de la Nouvelle Orleans font revivre la légende d'un groupe confidentiel a l'occasion du Sick new world, un festival nostalgique jusqu’à la moelle organisé a Las Vegas.

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Une petite note de service pour ce nouvel épisode édité, non pas par Arno, mais votre autre serviteur. Si vous remarques des différences, on espère qu'elle ne vous traumatiseront pas.

On commence notre épisode avec l'un des disques les plus acclames de l’année, le nouvel album des irlandais de Fontaines D.C., Romance, pour parler d'un disque destiné a rentrer dans la légende. Puis, on enchaîne avec un disque couronné, Return to the 36th Chamber de Ol' Dirty Bastard. Un disque a l'influence encore perceptible aujourd'hui et un artiste controversé qui reste l'un des plus créatifs et original de sa génération.

Enfin, on enchaîne ce petit retour sur un classique du Wu-Tang Clan pour faire un petit top 5 comparatif des disques de la première génération du crew le plus emblématique des années 90 pour le rap américain.

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